A nos collègues disquaires et dans le cadre du Plan de Départ Volontaire lié au PSE la Fnac va proposer des mesures misérables, le point de comparaison étant le PSE 2012, les premières mesures sont inférieures de moitié, voire davantage !
De la provocation, du mépris ou un peu des deux.
Il faut dire que ces « petites sommes » doivent sembler bien abstraites à notre illustre dirigeant, lui qui bénéficie d’un fixe annuel de 900 000 €, outre un variable de 105% ce qui peut l’amener à environ 2 briques par an, 150 000€ par mois, juste 100 fois plus que le péquin d’en bas.
80% du variable sur des objectifs financiers, et 20% sur du qualitatif, et on comprend mieux l’énergie déployée à couper des têtes.
Le plan d’intéressement à long terme dont il bénéficie en même temps que les « collaborateurs clés », le groupe des fossoyeurs donc, est assis sur le cours de bourse dont on sait que son évolution est boostée par les annonces de restructurations…une belle motivation !
La voiture de société qui va avec n’est pas une DACIA avec jantes alu, mais on ne chipotera pas, on n’aimerait pas que ses collègues PDG le charrient pour ça.
Comme il faut penser à l’avenir, sa clause de non-concurrence est assortie pendant 2 ans du versement d’une indemnité de 80% du fixe, soit 60 000 € par mois outre une assurance chômage.
De quoi donner aux jaloux et aigris de la « Fnac d’en bas » des envies de partage à faire vivre dans la période qui arrive.